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Journalisme : la guerre des noms

  • occidentis
  • 3 août 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 23 sept. 2020

Comme l'a dit notre ministre de l'Intérieur, le très apprécié - par les féministes - Gérald Darmanin, "l’ensauvagement de la société" ne cesse d'augmenter. Agressions, viols, meurtres, flicophobie, les agresseurs agissent avec une sévérité moindre. Il est intéressant de noter que ces individus sont dans la majorité des cas des : "jeunes", "individus", ou tout simplement "hommes". Mais pourquoi ne pas citer leurs noms ?

La peur de l’amalgame


Le 11 juillet dernier, l'avocat Gilles-William Goldnadel a retweeté une vidéo publiée par le média Damoclès dans laquelle un journaliste, sur le plateau d'Arte, avoue que le milieu journalistique falsifie les prénoms des individus qui sèment le chaos dans notre société. Le témoignage est effrayant : lors d'une série de viols collectifs dans des cités de banlieue parisienne, les prénoms ont volontairement été modifiés par "Alain","Frédéric", "Maurice" par certains médias, alors qu'il s'agissait de "Ali", "Mohamed", "Mokhtar". Ce choix mensonger, selon les journalistes bien-pensants, viserait à éviter l'amalgame concernant les minorités coupables de crimes. En venir à modifier les prénoms ne reviendrait-il pas à indirectement avouer que les actes illégaux sont majoritairement commis par une certaine partie de la population pourtant idéalisée ?


La transparence à sens unique


Si les prénoms sont parfois modifiés, ils sont d'autres fois cachés. Prenons le cas de Philippe Monguillot, chauffeur de bus tabassé à mort par quatre hommes qui se nomment en réalité Mohamed C, Moussa B, Sélim Z et Mohammed A. Les médias, malhonnêtes ici, ont tenté de tenir secrète l'identité des meurtriers alors que leur devoir est de traiter factuellement l'information. Étrangement, les médias d'ultra-gauche n'ont aucun mal à décliner l'identité d'un agresseur blanc tandis que les délinquants issus des minorités ont le droit à l'anonymat. Libération ou "Libé" pour ses rares lecteurs, n'hésite pas à mentionner le nom de Guillaume M, suprémaciste blanc se rêvait en Breivik. On attend toujours leur article sur la réelle identité des tueurs de Philippe ou sont-ils trop occupés à pondre des articles sur le "privilège blanc" ou la haine antimusulmanne.


Chauffeur de tram agressé à Dijon et Orléans (31 et 30 juillet), fusillade à Nîmes (25 juillet), meurtre au couteau à Marseille (25 juillet), pompier blessé à Étampes (15 juillet), policier ciblé à Grasse (29 juillet)... Cette liste, qui ne recense qu'une infime partie des agressions, résume bien la hausse de la criminalité et des violences dont sont victimes les français au quotidien. Passée sous silence, avec un anonymat certain, cette protection de l'identité vise à permettre une réinsertion sociale et à excuser l'individu, sans doute pas habitué aux codes sociaux de son pays oppresseur.


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